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Their ghosts can’t say to the king, “We’re sorry; we fought for freedom and deposed you. Even though another tyrant took your place, our lives, our deaths, have not been in vain.” They remain, in spirit, free; their hope survives. Defiance grows from their bleached bones, magnified by their sacrifice. Like Christ, they have died for freedom, just not for you. They haven’t died to justify another war to preserve another rotten dictator. They haven’t died for political convenience. They will always have a place in a free republic and remind us not to bow to emperors or to listen to their grovelers and PR sycophants.
«Français de soixante-dix, bonapartistes, républicains, souvenez-vous de vos pères en 92, etc. . . .» — Paul de Cassagnac (Le Pays) Morts de quatre-vingt-douze et de quatre-vingt-treize Qui, pâles du baiser fort de la liberté, Calmes, sous vos sabots, brisiez le joug qui pèse Sur l’âme et sur le front de toute humanité; Hommes extasiés et grands dans la tourmente, Vous dont les cœurs sautaient d’amour sous les haillons, Ô soldats que la Mort a semés, noble Amante, Pour les régénérer, dans tous les vieux sillons; Vous dont le sang lavait toute grandeur salie, Morts de Valmy, Morts de Fleurus, Morts d’Italie, Ô Million de Christs aux yeux sombres et doux; Nous vous laissions dormir avec la République, Nous, courbés sous les rois comme sous une trique: —Messieurs de Cassagnac nous reparlent de vous!