Poésies
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They might say they all hate me, but since I’ve come back to town they’ve all come begging. I think they should stay home and close their curtains. Stepping out with me will make them look more foolish. I never loved them anyway; I only played along. They played on my vanity, though now I don’t see how.
Un hydrolat lacrymal lave Les cieux vert-chou: Sous l’arbre tendronnier qui bave Vos caoutchoucs. Blancs de lunes particulières Aux pialats ronds, Entrechoquez vos genouillères Mes laiderons! Nous nous aimions à cette époque, Bleu laideron: On mangeait des œufs à la coque Et du mouron! Un soir tu me sacras poète, Blond laideron. Descends ici que je te fouette En mon giron; J’ai dégueulé ta bandoline Noir laideron; Tu couperais ma mandoline Au fil du front. Pouah! nos salives desséchées Roux laideron Infectent encor les tranchées De ton sein rond! Ô mes petites amoureuses Que je vous hais! Plaquez de fouffes douloureuses, Vos tétons laids! Piétinez mes vieilles terrines De sentiment; Hop donc soyez-moi ballerines Pour un moment! . . . Vos omoplates se déboîtent Ô mes amours! Une étoile à vos reins qui boîtent Tournez vos tours. Est-ce pourtant pour ces éclanches Que j’ai rimé! Je voudrais vous casser les hanches D’avoir aimé! Fade amas d’étoiles ratées Comblez les coins —Vous creverez en Dieu, bâtées D’ignobles soins! Sous les lunes particulières Aux pialats ronds Entrechoquez vos genouillières, Mes laiderons!